Influencé par l’idée de médias morts et l’effondrement de la civilisation industrielle et consumériste, Mounir Fatmi développe une réflexion sur le statut de l’œuvre d’art entre Archive et Archéologie. Depuis 2000, ses installations ont été sélectionnées dans de nombreuses internationales dont celles de Venise, Sharjah, Dakar, Gwangju, Lyon, Bamako ou Shenzhen. Son travail a été présenté au sein de nombreuses expositions personnelles, ou collectives au Centre Georges Pompidou, Paris. Brooklyn Museum, New York. Palais de Tokyo, Paris. MAXXI, Rome. Mori Art Museum, Tokyo. MMOMA, Moscou. Mathaf, Doha. Hayward Gallery et Victoria & Albert Museum, Londres. Van Abbemuseum, Eindhoven, au Nasher Museum of Art, Durham au Louvre Abu Dhabi, au Migros Museum für Gegenwarskunst, Zürich. Mamco, Genève ou au Museum Kunst Palast, Düsseldorf. Il a reçu plusieurs prix dont le Uriöt prize, Amsterdam, le Grand Prix Léopold Sédar Senghor de la 7e Biennale de Dakar en 2006 et le prix de la Biennale du Caire, en 2010.